Payer les attaquants de ransomware ne rapporte pas et peint souvent une cible plus grande sur le dos d’une victime.
80 % des victimes de rançongiciels qui ont payé leurs agresseurs ont été touchées une deuxième fois par le fléau des logiciels malveillants.
Les nouveaux chiffres sur les ransomwares proviennent d’une enquête Cybereason d’avril sur les ransomwares auprès de 1 456 professionnels de la cybersécurité.
« Pourquoi ne pas frapper la même entreprise, exiger une rançon plus élevée et être payé ? » Le rapport confirme non seulement l’augmentation des incidents de ransomware, ce que le récent Verizon DBIR documente explicitement, mais une nouvelle tendance inquiétante.
Les attaquants opèrent dans un pays où le paiement d’une rançon par une entreprise est une infraction pénale, sur la base des règles gouvernementales liées à « Faire des affaires » avec une entité terroriste identifiée.
Parmi ces victimes répétées de ransomware qui ont payé, 44 % ont payé à nouveau lors d’un incident de ransomware distinct.